Avec quelques formateurs du CHTIP * IN-DOLORE comme Pascale CHAMI, Marc GALY, ou d'anciens comme Jacques Antoine MALAREWICZ, Julien BETBEZE
Organisé par Alain Vallée, psychiatre, psychothérapeute, avec la complicité de Julien Betbèze, rédacteur en chef de la revue Hypnose & Thérapies brèves, cet ouvrage de 228 pages réunit les riches expériences de dix-huit intervenant-e-s sur le thème de la prescriptions des tâches thérapeutiques.
Jacques-Antoine Malarewicz, un des pères de l’hypnose ericksonienne en France, nous propose sa propre manière légère, élégante, et aussi implacable qu’un double lien.
Gaston Brosseau, notre maître québécois, considère plutôt que la tâche majeure qui incombe au patient est d’aller mieux. Dominique Megglé, un des plus fins connaisseurs d’Erickson, met en balance les tâches expérientielles et les prescriptions post-hypnotiques.
Pour Pierre Castelnau, spécialiste des troubles d’hyperactivité, la tâche crée un lien qui libère.
Gérard Fitoussi, médecin généraliste et président-elect de l’European Society of Hypnosis, s’interroge sur le lien entre tâches thérapeutiques et prescriptions médicales.
Pour Pascale Chami, toute tâche est de l’autohypnose : toute hypnose n’est-elle d’ailleurs pas de l’autohypnose ?
Dans le même ordre d’idées, Liliana Fodorean présente le travail qu’elle fait avec la mauvaise habitude du tabac.
Ce hors-Série explique également de manière précise comment chacun propose les tâches. Wilfrid Martineau, avec la rigueur d’esprit que nous lui connaissons, en développe la rhétorique particulière.
Marc Galy et Alain Toledano rappellent combien les suggestions sous forme de saupoudrage sont d’excellentes tâches.
Pierre Jeanne Julien, proche de Giorgio Nardone, montre combien le smartphone peut être un allié exceptionnel.
Michel Lamarlère fait percevoir combien le diabolique miracle du pire peut être plein de ressources.
Emmanuel Malphettes raconte très pratiquement les tâches d’écriture et tout particulièrement la lettre sur l’oreiller.
Quant à Daniel Quin, il présente ses stratégies destinées à rendre conscient ce qui, d’habitude, ne l’est pas dans les conduites des uns et des autres.
Vania Torres-Lacaze, dans un exposé vivant, montre combien des tâches peuvent avoir une double fonction de recadrage, bloquant les vains efforts pour se sortir d’affaire et ouvrant les choix vers d’autres possibilités.
Grégoire Vitry et Claude de Scorraille, chercheurs et formateurs en psychopathologie, exposent comment un simple petit « non » peut changer la vie.
Arnaud Zeman enfin met en évidence comment les tâches donnent l’opportunité à des familles de revivre sur une autre scène ce qu’elles ont vécu dans la rencontre initiale thérapeutique.
Pour commander la revue, cliquez ici
Organisé par Alain Vallée, psychiatre, psychothérapeute, avec la complicité de Julien Betbèze, rédacteur en chef de la revue Hypnose & Thérapies brèves, cet ouvrage de 228 pages réunit les riches expériences de dix-huit intervenant-e-s sur le thème de la prescriptions des tâches thérapeutiques.
Jacques-Antoine Malarewicz, un des pères de l’hypnose ericksonienne en France, nous propose sa propre manière légère, élégante, et aussi implacable qu’un double lien.
Gaston Brosseau, notre maître québécois, considère plutôt que la tâche majeure qui incombe au patient est d’aller mieux. Dominique Megglé, un des plus fins connaisseurs d’Erickson, met en balance les tâches expérientielles et les prescriptions post-hypnotiques.
Pour Pierre Castelnau, spécialiste des troubles d’hyperactivité, la tâche crée un lien qui libère.
Gérard Fitoussi, médecin généraliste et président-elect de l’European Society of Hypnosis, s’interroge sur le lien entre tâches thérapeutiques et prescriptions médicales.
Pour Pascale Chami, toute tâche est de l’autohypnose : toute hypnose n’est-elle d’ailleurs pas de l’autohypnose ?
Dans le même ordre d’idées, Liliana Fodorean présente le travail qu’elle fait avec la mauvaise habitude du tabac.
Ce hors-Série explique également de manière précise comment chacun propose les tâches. Wilfrid Martineau, avec la rigueur d’esprit que nous lui connaissons, en développe la rhétorique particulière.
Marc Galy et Alain Toledano rappellent combien les suggestions sous forme de saupoudrage sont d’excellentes tâches.
Pierre Jeanne Julien, proche de Giorgio Nardone, montre combien le smartphone peut être un allié exceptionnel.
Michel Lamarlère fait percevoir combien le diabolique miracle du pire peut être plein de ressources.
Emmanuel Malphettes raconte très pratiquement les tâches d’écriture et tout particulièrement la lettre sur l’oreiller.
Quant à Daniel Quin, il présente ses stratégies destinées à rendre conscient ce qui, d’habitude, ne l’est pas dans les conduites des uns et des autres.
Vania Torres-Lacaze, dans un exposé vivant, montre combien des tâches peuvent avoir une double fonction de recadrage, bloquant les vains efforts pour se sortir d’affaire et ouvrant les choix vers d’autres possibilités.
Grégoire Vitry et Claude de Scorraille, chercheurs et formateurs en psychopathologie, exposent comment un simple petit « non » peut changer la vie.
Arnaud Zeman enfin met en évidence comment les tâches donnent l’opportunité à des familles de revivre sur une autre scène ce qu’elles ont vécu dans la rencontre initiale thérapeutique.
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