Hypnose et kinésithérapie, Théo Chaumeil - Physios Bourgogne
Conférence de Théo chaumeil
Jeudi 12 avril 2018 – DIJON
Résumé
Depuis quelques temps, l’hypnose se démocratise parmi les professionnels de santé, que ce soit à l’hôpital ou en secteur libéral. Devant son succès grandissant, certains non-professionnels de santé s’emparent eux-aussi de cet outil et après quelques heures de formation s’autoproclament « hypnothérapeutes ».
Si l’hypnose est à la mode c’est aussi parce que l’actualité scientifique et surtout les neurosciences ont apporté ces dernières années de nombreux éclairages à l’hypnose.
L’objectif de la soirée sera tout d’abord de démystifier l’outil en apportant un regard critique sur son historique, son utilisation et les connaissances actuelles sur le sujet (tout particulièrement sur la douleur).
Nous aborderons ensuite plus spécifiquement la place et l’intérêt de l’hypnose dans une pratique de la kinésithérapie afin de comprendre comment cet outil peut s’intégrer à nos prises en charge, tout en restant dans notre champ de compétence.
Nous verrons finalement que l’hypnose est un outil double : à la fois thérapeutique permettant, entre autre d’agir sur la douleur et aussi un outil de communication qui vous permettra de modifier votre relation avec les patients.
Lieu et Date
Jeudi 12 avril 2018
Salle Chambelland (8, rue Olympe de Gouges, 21000 Dijon) – 20h
Jeudi 12 avril 2018 – DIJON
Résumé
Depuis quelques temps, l’hypnose se démocratise parmi les professionnels de santé, que ce soit à l’hôpital ou en secteur libéral. Devant son succès grandissant, certains non-professionnels de santé s’emparent eux-aussi de cet outil et après quelques heures de formation s’autoproclament « hypnothérapeutes ».
Si l’hypnose est à la mode c’est aussi parce que l’actualité scientifique et surtout les neurosciences ont apporté ces dernières années de nombreux éclairages à l’hypnose.
L’objectif de la soirée sera tout d’abord de démystifier l’outil en apportant un regard critique sur son historique, son utilisation et les connaissances actuelles sur le sujet (tout particulièrement sur la douleur).
Nous aborderons ensuite plus spécifiquement la place et l’intérêt de l’hypnose dans une pratique de la kinésithérapie afin de comprendre comment cet outil peut s’intégrer à nos prises en charge, tout en restant dans notre champ de compétence.
Nous verrons finalement que l’hypnose est un outil double : à la fois thérapeutique permettant, entre autre d’agir sur la douleur et aussi un outil de communication qui vous permettra de modifier votre relation avec les patients.
Lieu et Date
Jeudi 12 avril 2018
Salle Chambelland (8, rue Olympe de Gouges, 21000 Dijon) – 20h
Hypnose, une pratique répandue dans les hôpitaux - Allo Médecins
L’hypnosédation ou contrôle de la douleur par l’hypnose est une pratique médicale désormais implantée dans les hôpitaux. Son champ d’action est très vaste, du traitement de la douleur et du stress à l’amélioration de la tolérance d’une chimiothérapie. Elle est efficace sur les enfants et les personnes âgées.
Hypnose et chirurgie, des effets bénéfiques incontestables
Jules Cloquet est le premier chirurgien à avoir réalisé la première intervention chirurgicale sous hypnose en 1829. Il a procédé à une mastectomie sous un sommeil magnétique. Ainsi, l’hypnosédation n’est pas vraiment une pratique médicale nouvelle. Elle a juste été oubliée depuis la découverte de l’éther et du chloroforme en 1846. Cependant, elle revient en force depuis les années 1990.
Selon le Dr Eric Fournier, anesthésiste du CHU de Tours et spécialiste de l’hypnose médicale, l’hypnose en chirurgie offre plusieurs avantages. Il s’agit d’un procédé beaucoup moins lourd que l’anesthésie. Une intervention chirurgicale sous hypnose ne requiert pas l’utilisation d’un respirateur. L’hypnosédation évite également les effets secondaires des anesthésiques comme le risque de confusion et d’agitation au réveil.
Preuve de l’efficacité de ce savoir-faire ressuscité, le Pr Ilyess Zemmoura, neurochirurgien au CHU de Tours, a recours à l’hypnose pour des interventions de neurochirurgie éveillée depuis 2011. Cela lui permet de prévenir la dépression des neurones à cause des effets anesthésiques. Chaque année, il réalise 15 à 20 opérations d’ablation de gliomes de bas grade.
Hypnose contre le stress et la douleur, une efficacité avérée
L’hypnosédation n’est pas seulement utilisée en blocs opératoires. Désormais, cette pratique est adoptée dans les unités de pédiatrie. Le contexte hypnotique est mis en place dès l’accueil. Grâce à des mots et des gestes rassurants, le personnel soignant met les enfants en confiance et évite le stress d’un geste douloureux. En effet, ils sont beaucoup plus sensibles à l’hypnose conversationnelle.
Les enfants peuvent en plus apprendre l’autohypnose pour la gestion des douleurs chroniques. Par exemple, des enfants de quatre à cinq ans atteints de leucémie sont initiés à l’hypnose. Ainsi, ces derniers sont capables d’endormir une zone douloureuse et de ne pas écouter une partie de leur corps. Pour les médecins, ils ont un meilleur imaginaire et constituent ainsi de meilleurs candidats à l’hypnose.
En gériatrie, l’hypnose sert également à gérer l’anxiété générée par les soins, même les plus simples. Avec l’hypnose formelle et la transe conversationnelle, les personnes âgées admises dans le service long séjour sont plus coopératives.
Hypnose et chirurgie, des effets bénéfiques incontestables
Jules Cloquet est le premier chirurgien à avoir réalisé la première intervention chirurgicale sous hypnose en 1829. Il a procédé à une mastectomie sous un sommeil magnétique. Ainsi, l’hypnosédation n’est pas vraiment une pratique médicale nouvelle. Elle a juste été oubliée depuis la découverte de l’éther et du chloroforme en 1846. Cependant, elle revient en force depuis les années 1990.
Selon le Dr Eric Fournier, anesthésiste du CHU de Tours et spécialiste de l’hypnose médicale, l’hypnose en chirurgie offre plusieurs avantages. Il s’agit d’un procédé beaucoup moins lourd que l’anesthésie. Une intervention chirurgicale sous hypnose ne requiert pas l’utilisation d’un respirateur. L’hypnosédation évite également les effets secondaires des anesthésiques comme le risque de confusion et d’agitation au réveil.
Preuve de l’efficacité de ce savoir-faire ressuscité, le Pr Ilyess Zemmoura, neurochirurgien au CHU de Tours, a recours à l’hypnose pour des interventions de neurochirurgie éveillée depuis 2011. Cela lui permet de prévenir la dépression des neurones à cause des effets anesthésiques. Chaque année, il réalise 15 à 20 opérations d’ablation de gliomes de bas grade.
Hypnose contre le stress et la douleur, une efficacité avérée
L’hypnosédation n’est pas seulement utilisée en blocs opératoires. Désormais, cette pratique est adoptée dans les unités de pédiatrie. Le contexte hypnotique est mis en place dès l’accueil. Grâce à des mots et des gestes rassurants, le personnel soignant met les enfants en confiance et évite le stress d’un geste douloureux. En effet, ils sont beaucoup plus sensibles à l’hypnose conversationnelle.
Les enfants peuvent en plus apprendre l’autohypnose pour la gestion des douleurs chroniques. Par exemple, des enfants de quatre à cinq ans atteints de leucémie sont initiés à l’hypnose. Ainsi, ces derniers sont capables d’endormir une zone douloureuse et de ne pas écouter une partie de leur corps. Pour les médecins, ils ont un meilleur imaginaire et constituent ainsi de meilleurs candidats à l’hypnose.
En gériatrie, l’hypnose sert également à gérer l’anxiété générée par les soins, même les plus simples. Avec l’hypnose formelle et la transe conversationnelle, les personnes âgées admises dans le service long séjour sont plus coopératives.
DE L’AISANCE A LA NAISSANCE : pratique de l’hypnose en anesthésie obstétricale - Pediatre online
Article écrit par le Dr Jean Michel Hérin, anesthésiste à la Clinique Sainte- Anne à Strasbourg
Extraits
On demande souvent quelle est la différence entre des techniques comme la relaxation, la sophrologie, et l’hypnose. La différence fondamentale est que l’état d’hypnose correspond à un état de dissociation. « Vous savez, quand vous conduisez votre voiture et que vous faites un trajet régulier, qui ne vous demande pas de concentration, que vous faites comme automatiquement, comme du travail à la maison par exemple, il vous arrive d’arriver à destination et de n’avoir aucun souvenir du trajet. D’un côté vous avez pensé à vos prochaines vacances, ou bien à votre dernière soirée entre amis, à votre liste de courses … et pourtant, en même temps, de l’autre côté, vous avez conduit, passé les vitesses, débrayé, freiné, vous étiez capable de vous arrêter au feu rouge, d’éviter un piéton traversant brusquement … vous étiez dissociée » …En général il s’agit d’une expérience plutôt agréable, « confortable », accompagnée d’une abolition de la notion du temps écoulé pendant ce moment. Je me demande s’il ne serait pas plus intéressant de remplacer ce paragraphe par le texte à la fin en annexe qui est une induction de transe pour la réalisation d’une péridurale
Pourquoi faire de l’hypnose ?
« L’hypnose commence au moment où s’établit la relation d’écoute, de respect et de prise en compte de la demande des patients » comme le dit J. Zeidan. Faire de l’hypnose tout simplement parce cela apporte du confort et que l’état hypnotique nous met en contact direct avec notre inconscient. Cet inconscient n’a rien à voir avec l’inconscient de Freud, lieu de refoulements. Il s’agit là d’un réservoir de ressource et d’apprentissages, apprentissages individuels mais aussi d’apprentissages socioculturels ; raison pour laquelle, à new York par exemple, les femmes issues de la communauté italienne ou hispanique ne vivent pas et n’expriment pas l’accouchement de la même manière que les « WASP » (white anglosaxon protestant). La future partu riante ( !) peut ainsi aller puiser dans cet inconscient tout ce qui peut lui être utile pour l’accouchement.
Qui peut faire de l’hypnose ?
Toute personne formée : médecin, sage femme, IADE, IBODE, kinésithérapeute et surtout les patientes elles même ! L’état hypnotique est un état physiologique nécessaire à l’homéostasie psychique humain : nous passons par des « phases hypnotiques » régulièrement, ce qui permet à notre inconscient, un peu comme les ordinateurs, de faire les mises à jours et les sauvegardes. En fait tout praticien fait de l’hypnose comme Monsieur Jourdain fait de la prose, nous savons tous chanter mais si nous prenons des cours de solfège et de chant nous chantons mieux.
Quand faire de l’hypnose dans un contexte obstétrical ?
L’anesthésiste pratiquant l’hypnose peut en faire en salle d’accouchement, pendant la pose de péridurale. Il peut aussi en faire pendant un « accouchement par césarienne », et j’insiste sur la terminologie « accouchement par césarienne ». L’hypnose peut être utile lors de manœuvres endo-utérines telles que révision utérine, délivrance artificielle, ainsi qu’en salle de réveil, en post partum et lors du retour à domicile. En fait on peut tout le temps faire appel à l’une ou l’autre des techniques hypnotiques pour se ressourcer, retrouver du confort !
Comment faire de l’hypnose ?
Le principe est simple : désactiver le cerveau gauche, cerveau numérique, scientifique et pragmatique, et activer le cerveau droit, plutôt analogique, artiste et rêveur. On bloque le cerveau gauche en appliquant des techniques telles que fixation de l’attention sur un point précis, la saturation, la confusion. On active les cerveau droit en utilisant un langage métaphorique, des sensations Visuelles, Auditives, Kinesthésiques et Olfactives : le fameux VAKO.
Quelles sont les particularités de l’hypnose en obstétrique ?
La parturiente arrivant en salle de naissance est en transe hypnotique, mais il s’agit d’une « transe négative », « inconfortable ». Le but est de la faire passer rapidement dans une transe agréable. Le médecin anesthésiste, appelé pour une péridurale, prend en charge une patiente inconnue dans un contexte d’urgence algique souvent intense. Il s’agit alors d’installer alors une transe dans les plus brefs délais afin d’effectuer des gestes techniques précis dans les meilleures conditions. La patiente tournant le dos au médecin pendant la pose de la péridurale il est difficile d’observer les signes classiques d’entrée en transe hypnotique. Quand la patiente rentre en transe hypnotique on constate une immobilité, une diminution de la fréquence respiratoire, sur laquelle on peut se baser pour faire du pacing. La fréquence cardiaque maternelle, et éventuellement fœtale, la pression artérielle ont tendance à diminuer. La patiente ne réagit pas lors de la désinfection cutanée (l’antiseptique est «légèrement frais » et non pas « froid »), lors de l’anesthésie locale (« ça peut picoter légèrement » et non « je vous pique »), lors de l’introduction de l’aiguille de Tuohy (« je vous invite à rester bien immobile » plutôt que « ne bougez pas »)… Il est intéressant de noter que les besoins en anesthésiques locaux ont tendance à être moindres chez les patientes bénéficiant de la pose d’une péridurale sous hypnose et que l’on bénéficie d’une meilleure stabilité hémodynamique.
Hypnose et post partum
Le médecin anesthésiste intervient peu en post partum. Cependant l’hypnose est un outil intéressant pour la prise en charge des douleurs après l’accouchement, ainsi que pour les phénomènes liés à l’allaitement.
Hypnose et vomissements gravidiques
Survenant souvent dans un contexte psychologique particulier les vomissement gravidiques ont pu se voir dans certains cas améliorés par la question magique, ou par des métaphores.
Lire l'article dans son intégralité
Extraits
On demande souvent quelle est la différence entre des techniques comme la relaxation, la sophrologie, et l’hypnose. La différence fondamentale est que l’état d’hypnose correspond à un état de dissociation. « Vous savez, quand vous conduisez votre voiture et que vous faites un trajet régulier, qui ne vous demande pas de concentration, que vous faites comme automatiquement, comme du travail à la maison par exemple, il vous arrive d’arriver à destination et de n’avoir aucun souvenir du trajet. D’un côté vous avez pensé à vos prochaines vacances, ou bien à votre dernière soirée entre amis, à votre liste de courses … et pourtant, en même temps, de l’autre côté, vous avez conduit, passé les vitesses, débrayé, freiné, vous étiez capable de vous arrêter au feu rouge, d’éviter un piéton traversant brusquement … vous étiez dissociée » …En général il s’agit d’une expérience plutôt agréable, « confortable », accompagnée d’une abolition de la notion du temps écoulé pendant ce moment. Je me demande s’il ne serait pas plus intéressant de remplacer ce paragraphe par le texte à la fin en annexe qui est une induction de transe pour la réalisation d’une péridurale
Pourquoi faire de l’hypnose ?
« L’hypnose commence au moment où s’établit la relation d’écoute, de respect et de prise en compte de la demande des patients » comme le dit J. Zeidan. Faire de l’hypnose tout simplement parce cela apporte du confort et que l’état hypnotique nous met en contact direct avec notre inconscient. Cet inconscient n’a rien à voir avec l’inconscient de Freud, lieu de refoulements. Il s’agit là d’un réservoir de ressource et d’apprentissages, apprentissages individuels mais aussi d’apprentissages socioculturels ; raison pour laquelle, à new York par exemple, les femmes issues de la communauté italienne ou hispanique ne vivent pas et n’expriment pas l’accouchement de la même manière que les « WASP » (white anglosaxon protestant). La future partu riante ( !) peut ainsi aller puiser dans cet inconscient tout ce qui peut lui être utile pour l’accouchement.
Qui peut faire de l’hypnose ?
Toute personne formée : médecin, sage femme, IADE, IBODE, kinésithérapeute et surtout les patientes elles même ! L’état hypnotique est un état physiologique nécessaire à l’homéostasie psychique humain : nous passons par des « phases hypnotiques » régulièrement, ce qui permet à notre inconscient, un peu comme les ordinateurs, de faire les mises à jours et les sauvegardes. En fait tout praticien fait de l’hypnose comme Monsieur Jourdain fait de la prose, nous savons tous chanter mais si nous prenons des cours de solfège et de chant nous chantons mieux.
Quand faire de l’hypnose dans un contexte obstétrical ?
L’anesthésiste pratiquant l’hypnose peut en faire en salle d’accouchement, pendant la pose de péridurale. Il peut aussi en faire pendant un « accouchement par césarienne », et j’insiste sur la terminologie « accouchement par césarienne ». L’hypnose peut être utile lors de manœuvres endo-utérines telles que révision utérine, délivrance artificielle, ainsi qu’en salle de réveil, en post partum et lors du retour à domicile. En fait on peut tout le temps faire appel à l’une ou l’autre des techniques hypnotiques pour se ressourcer, retrouver du confort !
Comment faire de l’hypnose ?
Le principe est simple : désactiver le cerveau gauche, cerveau numérique, scientifique et pragmatique, et activer le cerveau droit, plutôt analogique, artiste et rêveur. On bloque le cerveau gauche en appliquant des techniques telles que fixation de l’attention sur un point précis, la saturation, la confusion. On active les cerveau droit en utilisant un langage métaphorique, des sensations Visuelles, Auditives, Kinesthésiques et Olfactives : le fameux VAKO.
Quelles sont les particularités de l’hypnose en obstétrique ?
La parturiente arrivant en salle de naissance est en transe hypnotique, mais il s’agit d’une « transe négative », « inconfortable ». Le but est de la faire passer rapidement dans une transe agréable. Le médecin anesthésiste, appelé pour une péridurale, prend en charge une patiente inconnue dans un contexte d’urgence algique souvent intense. Il s’agit alors d’installer alors une transe dans les plus brefs délais afin d’effectuer des gestes techniques précis dans les meilleures conditions. La patiente tournant le dos au médecin pendant la pose de la péridurale il est difficile d’observer les signes classiques d’entrée en transe hypnotique. Quand la patiente rentre en transe hypnotique on constate une immobilité, une diminution de la fréquence respiratoire, sur laquelle on peut se baser pour faire du pacing. La fréquence cardiaque maternelle, et éventuellement fœtale, la pression artérielle ont tendance à diminuer. La patiente ne réagit pas lors de la désinfection cutanée (l’antiseptique est «légèrement frais » et non pas « froid »), lors de l’anesthésie locale (« ça peut picoter légèrement » et non « je vous pique »), lors de l’introduction de l’aiguille de Tuohy (« je vous invite à rester bien immobile » plutôt que « ne bougez pas »)… Il est intéressant de noter que les besoins en anesthésiques locaux ont tendance à être moindres chez les patientes bénéficiant de la pose d’une péridurale sous hypnose et que l’on bénéficie d’une meilleure stabilité hémodynamique.
Hypnose et post partum
Le médecin anesthésiste intervient peu en post partum. Cependant l’hypnose est un outil intéressant pour la prise en charge des douleurs après l’accouchement, ainsi que pour les phénomènes liés à l’allaitement.
Hypnose et vomissements gravidiques
Survenant souvent dans un contexte psychologique particulier les vomissement gravidiques ont pu se voir dans certains cas améliorés par la question magique, ou par des métaphores.
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