À Évreux, l’hôpital utilise l’hypnose dans certaines opérations - Paris Normandie
Santé. Le service des urgences du Centre hospitalier Eure-Seine, à Évreux, utilise la transe hypnotique pour soulager la douleur des patients et réduire l’utilisation de produits anesthésiques.
Le service des urgences du centre hospitalier Eure-Seine, à Évreux, a fait de la gestion de la douleur son cheval de bataille. Après avoir généralisé la distribution d’antalgiques opioïdes très peu dosés à l’accueil pour les patients qui souffrent le plus, l’équipe du Dr Arnaud Depil-Duval s’est lancée dans l’hypnose afin de soulager les maux des souffrants.
CONSCIENCE RÊVEUSE
Rien à voir ici avec l’hypnose de cabaret où, en un claquement de doigt, l’hypnotiseur endort son public. Une dizaine de soignants des urgences d’Évreux ont été formés à l’hypnose extemporanée, c’est-à-dire exempte de toute notion de psychologie.
« En 30 à 60 secondes, nous parvenons à mettre le patient en transe hypnotique, ou ‘‘conscience rêveuse’’. Il ne dort pas, il est conscient, mais il ne ressent pas la douleur, décrypte Arnaud Depil-Duval. Le rôle du soignant est d’amener la personne à penser à autre chose. »
Cette technique a été expérimentée à plusieurs reprises. « La première fois, c’était pour une luxation d’épaule chronique sur un jeune un peu toxico auquel il fallait donner jusqu’à 500 mg de propofol [anesthésique général d’action rapide, Ndlr] contre, en moyenne, 200 mg, se souvient le Dr Depil-Duval. Avec l’hypnose, il n’en a pris que 100 mg. »
Changement d’attelle, fracture du pouce, ponction lombaire... Les interventions pouvant se réaliser sous hypnose sont nombreuses. « Il faut que le patient soit réceptif. En général, quand on a mal, on accepte toutes les solutions pouvant soulager la douleur. »
Le recours à l’hypnose génère bien des avantages. « Dans notre service, il faut perfuser les patients. Mais cela prend entre 10 et 12 minutes pour tout préparer. L’avantage de l’hypnose est que, pendant qu’un infirmier fait ça, l’autre peut préparer la perfusion. Par ailleurs, la consommation d’antalgiques a réduit. Toutefois, l’hypnose n’est pas utilisée seule. Par sécurité, on a toujours moyen d’injecter un anesthésique. »
Une dizaine de personnels des urgences d’Évreux - trois médecins, six infirmiers et une aide soignante - ont été formés à l’hypnose. « Les autres services commencent à s’y mettre », se réjouit Arnaud Depil-Duval, heureux d’être imité par ses confrères.
La transe hypnotique peut également être utilisée lors d’interventions plus longues. Une équipe de l’hôpital Bretonneau, à Tours (37), a ainsi remplacé l’anesthésie générale par l’hypnose dans l’opération de certaines tumeurs cérébrales.
C. R.
Le service des urgences du centre hospitalier Eure-Seine, à Évreux, a fait de la gestion de la douleur son cheval de bataille. Après avoir généralisé la distribution d’antalgiques opioïdes très peu dosés à l’accueil pour les patients qui souffrent le plus, l’équipe du Dr Arnaud Depil-Duval s’est lancée dans l’hypnose afin de soulager les maux des souffrants.
CONSCIENCE RÊVEUSE
Rien à voir ici avec l’hypnose de cabaret où, en un claquement de doigt, l’hypnotiseur endort son public. Une dizaine de soignants des urgences d’Évreux ont été formés à l’hypnose extemporanée, c’est-à-dire exempte de toute notion de psychologie.
« En 30 à 60 secondes, nous parvenons à mettre le patient en transe hypnotique, ou ‘‘conscience rêveuse’’. Il ne dort pas, il est conscient, mais il ne ressent pas la douleur, décrypte Arnaud Depil-Duval. Le rôle du soignant est d’amener la personne à penser à autre chose. »
Cette technique a été expérimentée à plusieurs reprises. « La première fois, c’était pour une luxation d’épaule chronique sur un jeune un peu toxico auquel il fallait donner jusqu’à 500 mg de propofol [anesthésique général d’action rapide, Ndlr] contre, en moyenne, 200 mg, se souvient le Dr Depil-Duval. Avec l’hypnose, il n’en a pris que 100 mg. »
Changement d’attelle, fracture du pouce, ponction lombaire... Les interventions pouvant se réaliser sous hypnose sont nombreuses. « Il faut que le patient soit réceptif. En général, quand on a mal, on accepte toutes les solutions pouvant soulager la douleur. »
Le recours à l’hypnose génère bien des avantages. « Dans notre service, il faut perfuser les patients. Mais cela prend entre 10 et 12 minutes pour tout préparer. L’avantage de l’hypnose est que, pendant qu’un infirmier fait ça, l’autre peut préparer la perfusion. Par ailleurs, la consommation d’antalgiques a réduit. Toutefois, l’hypnose n’est pas utilisée seule. Par sécurité, on a toujours moyen d’injecter un anesthésique. »
Une dizaine de personnels des urgences d’Évreux - trois médecins, six infirmiers et une aide soignante - ont été formés à l’hypnose. « Les autres services commencent à s’y mettre », se réjouit Arnaud Depil-Duval, heureux d’être imité par ses confrères.
La transe hypnotique peut également être utilisée lors d’interventions plus longues. Une équipe de l’hôpital Bretonneau, à Tours (37), a ainsi remplacé l’anesthésie générale par l’hypnose dans l’opération de certaines tumeurs cérébrales.
C. R.
Hypnose à Metz-Plantières : « De nouvelles perspectives de soins » en médecine général - Républicain Lorrain
Laurence Methlin, formée à UTHyL et au CHTIP
Laurence est médecin généraliste. Depuis quatre ans, elle utilise l’hypnose. Une méthode qui lui a ouvert d’autres solutions de soins.
L’ hypnose est une technique séduisante, intuitive, qui fait appel à la créativité du patient et du thérapeute. C’est la création d’un espace de liberté. » Laurence, médecin généraliste, pratique l’hypnose dans son cabinet messin depuis quatre ans. Elle explique que la méthode lui a ouvert de nouvelles perspectives de soins. « Il y a des pathologies pour lesquelles je n’avais pas d’outils, et face au patient, c’est toujours vous qui savez à leur place. L’hypnose fait appel aux ressources des patients. C’est ce qui m’a plu. »
Pour le médecin généraliste, l’hypnose permet d’apporter des réponses thérapeutiques à des patients que la médecine traditionnelle ne pouvait satisfaire, sauf par la voie « d’anxiolytiques et d’effets secondaires ». Elle est donc allée chercher ailleurs des solutions pour tous les gens qui souffraient de maux de ventre, de tête ou d’angoisses à répétition, pour toutes les personnes dépendantes à la cigarette, entre autres…
« La méthode fonctionne sur la plupart des gens à partir du moment où ils adhèrent. S’il n’y a pas de relation de confiance, il n’y a pas d’hypnose. Mais pratiquement, tous les gens peuvent changer. » Laurence, installée depuis près de treize ans à Plantières, apprécie les résultats constatés sur des pathologies face auxquelles elle se sentait « démunie, résignée ». Comme « cet homme qui souffrait de migraine sévère », se souvient-elle. « Je suis un petit guide, je pose un regard différent sur les patients », explique-t-elle. Et d’ajouter qu’elle prescrit moins de médicaments. « L’hypnose est aussi efficace dans le temps, elle ne présente aucun effet secondaire. » Pour elle, « c’est un outil extraordinaire ».
L’ hypnose est une technique séduisante, intuitive, qui fait appel à la créativité du patient et du thérapeute. C’est la création d’un espace de liberté. » Laurence, médecin généraliste, pratique l’hypnose dans son cabinet messin depuis quatre ans. Elle explique que la méthode lui a ouvert de nouvelles perspectives de soins. « Il y a des pathologies pour lesquelles je n’avais pas d’outils, et face au patient, c’est toujours vous qui savez à leur place. L’hypnose fait appel aux ressources des patients. C’est ce qui m’a plu. »
Pour le médecin généraliste, l’hypnose permet d’apporter des réponses thérapeutiques à des patients que la médecine traditionnelle ne pouvait satisfaire, sauf par la voie « d’anxiolytiques et d’effets secondaires ». Elle est donc allée chercher ailleurs des solutions pour tous les gens qui souffraient de maux de ventre, de tête ou d’angoisses à répétition, pour toutes les personnes dépendantes à la cigarette, entre autres…
« La méthode fonctionne sur la plupart des gens à partir du moment où ils adhèrent. S’il n’y a pas de relation de confiance, il n’y a pas d’hypnose. Mais pratiquement, tous les gens peuvent changer. » Laurence, installée depuis près de treize ans à Plantières, apprécie les résultats constatés sur des pathologies face auxquelles elle se sentait « démunie, résignée ». Comme « cet homme qui souffrait de migraine sévère », se souvient-elle. « Je suis un petit guide, je pose un regard différent sur les patients », explique-t-elle. Et d’ajouter qu’elle prescrit moins de médicaments. « L’hypnose est aussi efficace dans le temps, elle ne présente aucun effet secondaire. » Pour elle, « c’est un outil extraordinaire ».
Hypnose à Metz : des avantages financiers - Républicain Lorrain
Martine Hassenforder, médecin anesthésiste, et Martine Rozé, infirmière anesthésiste aux Hôpitaux privés de Metz, pratiquent l’hypnose au quotidien.
On ne peut pas trop chiffrer les avantages financiers », avance Martine Hassenforder, médecin anesthésiste aux Hôpitaux privés de Metz. Toutefois, elle assure que l’usage des médicaments est moins important, que l’hypnose permet de soulager la douleur des patients avec moins de produits, qu’elle permet d’atténuer les effets secondaires, et qu’on peut réduire les séjours hospitaliers. Ce n’est pas rien à l’heure des réductions budgétaires.
Et l’ensemble des spécialistes qui pratiquent l’hypnose thérapeutique certifier qu’ils sont en mesure de transmettre à leur patient des outils pour pratiquer à domicile. « Systématiquement, on fait de l’apprentissage d’auto-hypnose » , affirme encore Martine Rozé, qui ne pratique plus que l’hypnose dans les services de l’hôpital Robert-Schuman. Les patients peuvent ainsi se déstresser, soulager leurs douleurs, en reproduisant les exercices appris en consultation.
Un processus de soins qui se prolonge à domicile et qui, de ce fait, permet probablement d’éviter de nombreuses consultations.
On ne peut pas trop chiffrer les avantages financiers », avance Martine Hassenforder, médecin anesthésiste aux Hôpitaux privés de Metz. Toutefois, elle assure que l’usage des médicaments est moins important, que l’hypnose permet de soulager la douleur des patients avec moins de produits, qu’elle permet d’atténuer les effets secondaires, et qu’on peut réduire les séjours hospitaliers. Ce n’est pas rien à l’heure des réductions budgétaires.
Et l’ensemble des spécialistes qui pratiquent l’hypnose thérapeutique certifier qu’ils sont en mesure de transmettre à leur patient des outils pour pratiquer à domicile. « Systématiquement, on fait de l’apprentissage d’auto-hypnose » , affirme encore Martine Rozé, qui ne pratique plus que l’hypnose dans les services de l’hôpital Robert-Schuman. Les patients peuvent ainsi se déstresser, soulager leurs douleurs, en reproduisant les exercices appris en consultation.
Un processus de soins qui se prolonge à domicile et qui, de ce fait, permet probablement d’éviter de nombreuses consultations.
Metz : l’hypnose à l’hôpital, c’est simple et ça marche - Républicain Lorrain
Aux urgences de Mercy, au bloc des Hôpitaux privés de Metz ou en consultations libérales, des médecins et des infirmières utilisent l’hypnose dans leur méthode de soins. Ils évoquent un outil qui a modifié leur pratique au quotidien.
Le gamin, âgé d’une douzaine d’années, est allongé dans une salle de soins des urgences de Mercy. Il présente une plaie ouverte au niveau du tibia. Nasmine Guler, praticien hospitalier urgentiste, lui chuchote une histoire au creux de l’oreille. Au bout de quelques minutes à peine, les doigts du jeune garçon bougent, comme s’il jouait avec une console. Le médecin urgentiste se gante, installe un drap sur la jambe du blessé et commence à le recoudre.
Au bout de quelques minutes, l’opération est terminée, l’enfant reprend conscience. Aucun anesthésiant n’a été utilisé. « Uniquement une méthode d’hypnose », révèle Nasmine Guler.
Curiosité
La jeune femme qui travaille aux services des urgences de Mercy est enthousiaste. « Pourtant, au départ, je n’y croyais pas. J’y suis allée par curiosité et avec scepticisme. »
Elle éclate de rire, tout en avouant qu’aujourd’hui « elle est passionnée, après l’avoir expérimenté sur les patients ». C’est Sandrine Weber, sa collègue, qui l’a embarquée dans cette aventure. Au début, on nous appelait « les sorcières vaudoues dans le service ».
Efficacité
Aujourd’hui, l’efficacité de la méthode a surpris les plus sceptiques. « C’est l’outil idéal pour les urgences », répètent les urgentistes. Et de lister les avantages : « Gain de temps, utilisation de moins de chimie, état de conscience modifié qui implique le calme ». Une médecine complémentaire que les soignants pratiquants apprécient parce qu’elle leur a ouvert une nouvelle approche de leur exercice.
Patient
« L’hypnose, c’est une relation avec le patient, résume Martine Hassenforder, médecin anesthésiste aux Hôpitaux privés de Metz , et le fait d’utiliser les ressources du patient. »
Martine Hassenforder pratique au bloc. « Une relation empathique s’instaure, qui permet aux patients de partir vers les univers positifs alors qu’ils se trouvent dans un milieu anxiogène. » Réveils plus sereins et moins douloureux. « On utilise également moins d’antalgiques », souligne la praticienne.
Confort de travail
Des spécialistes pratiquent également certains gestes sous hypnose : pose de cathéter, actes d’endoscopie. Martine Hassenforder pratique sur les adultes comme sur les enfants. « C’est un confort de travail , apprécie-t-elle. Cette méthode a changé l’ambiance au sein du bloc. L’équipe est plus calme. Quand on commence une séance, la tonalité est douce, on n’utilise aucun mot négatif, les infirmières écoutent, font moins de bruit. » Sandrine Weber a constaté les mêmes effets dans le service des urgences de Mercy.
Ambiance zen
Elle se prête à rêver d’un hôpital "zen". Quant à Nasmine Guler, elle récapitule les différents emplois de la méthode. Par téléphone, pour conseiller et apaiser les paniques des patients, dans l’ambulance du Smur pour des détresses respiratoires, des problèmes cardiaques, pour les injections douloureuses chez les enfants…
Martine Rozé, infirmière anesthésiste à Schuman (Hôpitaux privés de Metz) ne fait plus que de l’hypnose depuis que cette pratique s’inscrit dans un véritable « projet hospitalier ». « Douleurs chroniques, acouphènes, prévision de soins douloureux… » Elle accueille en consultation. Elle navigue dans les services où les patients sont anxieux, figés dans une douleur ou des angoisses. Soins palliatifs. Service de cancérologie.
Les soignants qui pratiquent l’hypnose sont unanimes : « I l faudrait que tout le monde soit formé » , assure Martine Rozé. « Cela devrait être intégré aux études, car c’est une véritable relation de soins » , poursuit Martine Hassenforder.
Le gamin, âgé d’une douzaine d’années, est allongé dans une salle de soins des urgences de Mercy. Il présente une plaie ouverte au niveau du tibia. Nasmine Guler, praticien hospitalier urgentiste, lui chuchote une histoire au creux de l’oreille. Au bout de quelques minutes à peine, les doigts du jeune garçon bougent, comme s’il jouait avec une console. Le médecin urgentiste se gante, installe un drap sur la jambe du blessé et commence à le recoudre.
Au bout de quelques minutes, l’opération est terminée, l’enfant reprend conscience. Aucun anesthésiant n’a été utilisé. « Uniquement une méthode d’hypnose », révèle Nasmine Guler.
Curiosité
La jeune femme qui travaille aux services des urgences de Mercy est enthousiaste. « Pourtant, au départ, je n’y croyais pas. J’y suis allée par curiosité et avec scepticisme. »
Elle éclate de rire, tout en avouant qu’aujourd’hui « elle est passionnée, après l’avoir expérimenté sur les patients ». C’est Sandrine Weber, sa collègue, qui l’a embarquée dans cette aventure. Au début, on nous appelait « les sorcières vaudoues dans le service ».
Efficacité
Aujourd’hui, l’efficacité de la méthode a surpris les plus sceptiques. « C’est l’outil idéal pour les urgences », répètent les urgentistes. Et de lister les avantages : « Gain de temps, utilisation de moins de chimie, état de conscience modifié qui implique le calme ». Une médecine complémentaire que les soignants pratiquants apprécient parce qu’elle leur a ouvert une nouvelle approche de leur exercice.
Patient
« L’hypnose, c’est une relation avec le patient, résume Martine Hassenforder, médecin anesthésiste aux Hôpitaux privés de Metz , et le fait d’utiliser les ressources du patient. »
Martine Hassenforder pratique au bloc. « Une relation empathique s’instaure, qui permet aux patients de partir vers les univers positifs alors qu’ils se trouvent dans un milieu anxiogène. » Réveils plus sereins et moins douloureux. « On utilise également moins d’antalgiques », souligne la praticienne.
Confort de travail
Des spécialistes pratiquent également certains gestes sous hypnose : pose de cathéter, actes d’endoscopie. Martine Hassenforder pratique sur les adultes comme sur les enfants. « C’est un confort de travail , apprécie-t-elle. Cette méthode a changé l’ambiance au sein du bloc. L’équipe est plus calme. Quand on commence une séance, la tonalité est douce, on n’utilise aucun mot négatif, les infirmières écoutent, font moins de bruit. » Sandrine Weber a constaté les mêmes effets dans le service des urgences de Mercy.
Ambiance zen
Elle se prête à rêver d’un hôpital "zen". Quant à Nasmine Guler, elle récapitule les différents emplois de la méthode. Par téléphone, pour conseiller et apaiser les paniques des patients, dans l’ambulance du Smur pour des détresses respiratoires, des problèmes cardiaques, pour les injections douloureuses chez les enfants…
Martine Rozé, infirmière anesthésiste à Schuman (Hôpitaux privés de Metz) ne fait plus que de l’hypnose depuis que cette pratique s’inscrit dans un véritable « projet hospitalier ». « Douleurs chroniques, acouphènes, prévision de soins douloureux… » Elle accueille en consultation. Elle navigue dans les services où les patients sont anxieux, figés dans une douleur ou des angoisses. Soins palliatifs. Service de cancérologie.
Les soignants qui pratiquent l’hypnose sont unanimes : « I l faudrait que tout le monde soit formé » , assure Martine Rozé. « Cela devrait être intégré aux études, car c’est une véritable relation de soins » , poursuit Martine Hassenforder.